L’OL Mag 733 – ebook
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12,00 € TVA incluse
L’OL [MAG] n°733 – Octobre 2019
Edito
DE DEMAIN À APRÈS-DEMAIN
L’édition 2019 du Silmo a été particulièrement dynamique. Mis sous pression par la mise en place imminente de l’offre 100 % santé et le renouvellement en cours des réseaux de soins, le secteur s’est cette année largement mobilisé : les industriels pour proposer des produits et services visant à épauler les opticiens dans la négociation de ce virage, les opticiens pour dénicher les solutions qui leur permettront de préserver leurs marges et de continuer à développer leur activité.
Même si rien n’est gagné, la filière a montré lors du Mondial de l’optique sa capacité à se renouveler et à voir plus loin que le bout de son nez. Si demain ne sera peut-être pas tout rose, il ne devrait pas non plus être tout noir, si on en croit la dernière étude Gifo – Gallileo qui montre que la plupart des Français sont prêts à payer un reste à charge pour acheter des lunettes qui leur plaisent (lire notre Focus page 26). Et surtout, au-delà de demain, il y a après-demain et c’est vers là qu’il faut regarder.
Le Silmo 2019 s’est d’ores et déjà projeté dans cette logique futuriste qui vise à retravailler les fondamentaux du marché pour en assurer la pérennité sur le long terme : organisation d’un hackathon prospectif, conférences sur les innovations de rupture, mise en lumière des tendances de consommation émergentes… Le salon a ouvert l’horizon de ses visiteurs pour les pousser à la réflexion sur les mutations de leur métier.
Une mission Igas (Inspection générale des affaires sociales) a été lancée pour faire avancer la réforme de la profession et de la formation, qui pourrait déboucher sur de nouvelles prérogatives pour les opticiens. En parallèle, les nouvelles technologies, basées notamment sur l’intelligence artificielle, se développent à vitesse grand V dans la filière, que ce soit au niveau de l’équipement optique (lunettes connectées, etc.) ou du matériel en magasin. Tous ces éléments sont d’incontestables facteurs de création de valeur, unanimement jugée comme la panacée contre le repli redouté de l’activité. À vous de vous les approprier pour accompagner le renouveau d’un secteur aujourd’hui fermement armé pour l’avenir.
Même si rien n’est gagné, la filière a montré lors du Mondial de l’optique sa capacité à se renouveler et à voir plus loin que le bout de son nez. Si demain ne sera peut-être pas tout rose, il ne devrait pas non plus être tout noir, si on en croit la dernière étude Gifo – Gallileo qui montre que la plupart des Français sont prêts à payer un reste à charge pour acheter des lunettes qui leur plaisent (lire notre Focus page 26). Et surtout, au-delà de demain, il y a après-demain et c’est vers là qu’il faut regarder.
Le Silmo 2019 s’est d’ores et déjà projeté dans cette logique futuriste qui vise à retravailler les fondamentaux du marché pour en assurer la pérennité sur le long terme : organisation d’un hackathon prospectif, conférences sur les innovations de rupture, mise en lumière des tendances de consommation émergentes… Le salon a ouvert l’horizon de ses visiteurs pour les pousser à la réflexion sur les mutations de leur métier.
Une mission Igas (Inspection générale des affaires sociales) a été lancée pour faire avancer la réforme de la profession et de la formation, qui pourrait déboucher sur de nouvelles prérogatives pour les opticiens. En parallèle, les nouvelles technologies, basées notamment sur l’intelligence artificielle, se développent à vitesse grand V dans la filière, que ce soit au niveau de l’équipement optique (lunettes connectées, etc.) ou du matériel en magasin. Tous ces éléments sont d’incontestables facteurs de création de valeur, unanimement jugée comme la panacée contre le repli redouté de l’activité. À vous de vous les approprier pour accompagner le renouveau d’un secteur aujourd’hui fermement armé pour l’avenir.
Anne-Sophie Crouzet