Seiko lance une gamme fabriquée en France et une offre 2ème paire convertible en garantie

Avec les verres Seiko FR, le fabricant veut aider les « opticiens responsables » à valoriser leur image.

« En produisant nos verres Seiko FR en France, nous allions le meilleur de la technologie japonaise et de la fabrication française, répondant à cette préférence nationale exprimée par les porteurs et attendue par nos partenaires opticiens », explique Xavier Lacroix, directeur général de Seiko Optical France. En effet, selon le guide 2016 du marquage d’origine de la DGE (publié en novembre 2017), 75 % des Français se disent prêts à payer plus chers pour acheter français, 92 % veulent un marquage clair et une traçabilité sans ambiguïté, 95 % veulent soutenir l’économie française et 87% ont une sensibilité environnementale (recherche de circuits plus courts, de délais maîtrisés…). Ainsi, la gamme d’unifocaux et de progressifs Seiko FR, fabriquée en Seine et Marne, permet aux opticiens de « s’inscrire en acteurs engagés de l’économie française et soucieux de la réduction de l’empreinte carbone », explique le verrier qui, à terme, devrait obtenir le label Origine France Garantie.

Les verres Seiko FR sont couplés à une nouvelle offre 2^ème paire appelée Seiko Sérénité : le porteur peut, au choix, acheter immédiatement un second équipement avec des verres également produits en France ou le convertir en une garantie valable 12 mois dans le même magasin couvrant différentes situations (perte, vol, casse, envie d’un autre look, vision qui change…). Cette offre est une exclusivité Seiko Vision Specialist, présenté par le verrier comme le premier concept mondial d’opticiens indépendants. « Les opticiens qui adhèrent au concept, bénéficient de la forte attractivité de la marque qui atteint 83 % de taux de notoriété en grand public. Dans les corners Seiko Vision Specialist, le porteur de lunettes va sublimer son image, choisir ses verres et traitements en high tech, vivre un moment convivial qu’il pourra directement partager sur les réseaux sociaux », commente Xavier Lacroix.