Prix de l’Opticien de l’année 2024 : les candidatures sont ouvertes
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Depuis le 18 mars, les membres du Sidol (Syndicat des importateurs et distributeurs en optique-lunetterie) recensent les opticiens susceptibles de répondre aux critères du Prix de l’Opticien de l’année, qui viennent d’évoluer pour s’adapter aux nouveaux enjeux de la profession.
Depuis 1989, le Sidol organise l’élection de l’Opticien de l’Année, qui met en avant des opticiens remarquables. En plus des critères qualificatifs habituels*, elle s’appuiera désormais sur les éléments suivants :
– le positionnement pour une meilleure expérience client (santé visuelle et/ou montures) ;
– la politique de services et RSE du magasin ;
– le plan de communication.
Ces 3 nouveaux critères de sélection devront être détaillés par chaque candidat.
Une élection en 3 étapes
La 1ère phase de l’élection a débuté : depuis le 18 mars dernier, toutes les équipes membres du Sidol recensent les opticiens susceptibles de satisfaire ces conditions. A partir du 15 avril, le jury sélectionnera les candidats nommés au moins deux fois. Les nominés seront informés à compter du 30 avril. Ils auront alors 2 semaines pour remettre leur dossier de candidature complet mettant en lumière leurs actions et réalisations.
Le Sidol invite les opticiens souhaitant candidater à se rapprocher de ses adhérents : ADCL–Aplus, Laboratoire Alcon, Charmant France, CLSO, Laboratoire Coopervision, De Rigo, Eschenbach Optik, Hoya-Seiko, Indo Optical France, Laboratoire Johnson & Johnson, Julbo, Kering Eyewear, Luxottica France, Marchon France, Marcolin France, Maui Jim, Zeal Optics, Laboratoire Menicon, Menrad France, Nidek France, Onika, Ophtalmic Compagnie, Optiswiss France, Rodenstock France, Safilo France, Silhouette France, Supervision, Thélios, Zeiss Vision Care.
Le Prix de l’Opticien de l’Année 2024 sera remis le jeudi 12 septembre dans un lieu emblématique parisien.
* Les nominés doivent posséder le diplôme d’opticien depuis plus de 5 ans, être propriétaires de leur(s) point(s) de vente, exercer en France ou dans les DROM-COM et ne pas être membres du Sidol. Ils doivent observer une éthique professionnelle, jouir d’une bonne réputation, être engagés (au niveau professionnel, syndical ou dans toute autre activité citoyenne, corporative, associative, consulaire, régionale…). Sont également pris en compte leur dynamisme, leur esprit d’entreprise (prise de risque commercial), leur créativité et leurs activités altruistes.