Le Silmo, c’est dans 2 semaines !
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Après un format « hors les murs » en 2019 pour cause de crise sanitaire, le Mondial de l’Optique retrouve cette année sa dimension traditionnelle et se déroulera du 24 au 27 septembre au Parc des Expositions de Paris Nord Villepinte. Plus de 500 exposants ont déjà confirmé leur participation.
« Retrouvons l’émotion du réel » : telle est la baseline du Silmo 2021, qui se présente comme les retrouvailles de toute la filière de l’optique. Cette édition s’annonce similaire dans le fond et la forme aux éditions précédentes. Certes, le nombre d’exposants sera inférieur, mais la plupart des absents sont des entreprises asiatiques et vos fournisseurs habituels – verriers, lunetiers, fabricants de matériels – ont répondu présents cette année pour vous dévoiler leurs nouveautés. Ils se partageront les deux halls du Parc des Expositions traditionnellement occupés. Le Mondial de l’Optique est donc l’occasion de renouer les liens distendus par la crise sanitaire et la convivialité chère au secteur. Cette nouvelle édition s’annonce accueillante et festive, avec une sécurité assurée et des contraintes allégées grâce au passe sanitaire pour les visiteurs et les exposants pendant toute la durée de l’événement. Le Silmo 2021 sera particulièrement favorable aux échanges et aux découvertes, « avec un élément supplémentaire : la force et l’émotion des retrouvailles », souligne Amélie Morel, présidente du Silmo.
Communication militante
Pour ce Silmo du renouveau, les organisateurs ont mis sur pied une campagne engagée pour les visiteurs et les exposants qui peuvent afficher leur soutien au salon avec les hashtags #SILMOParis J’y suis ! et #SILMOParis J’y vais ! Objectif : faire comprendre aux acteurs de la filière qu’ils doivent être présents. Cette opération s’accompagne de la diffusion, sur les réseaux sociaux, d’interviews d’opticiens qui expliquent brièvement pourquoi ils vont au salon : découvrez ci-dessous celles de Jean-François Amé (Amé Optique), qui estime que « le Silmo est une obligation pour chaque opticien » et que « ne pas y aller est une faute professionnelle », ainsi que celle de Laurence Bourrouët (Les Lunettes de Laurence), qui a hâte de retrouver ses confrères et de « toucher les montures ».